HAÏTI, UN AN APRÈS

HAITIoneYearAfter001 thumbnail
# VIE QUOTIDIENNE A HAITI, 11 MOIS APRES LE SEISME # thumbnail
# VIE QUOTIDIENNE A HAITI, 11 MOIS APRES LE SEISME # thumbnail
# VIE QUOTIDIENNE A HAITI, 11 MOIS APRES LE SEISME # thumbnail
# VIE QUOTIDIENNE A PORT-AU-PRINCE, 10 MOIS APRES LE SEISME # thumbnail
VIE QUOTIDIENNE A PORT-AU-PRINCE / DAILY LIFE IN PORT-AU-PRINCE. thumbnail
# VIE QUOTIDIENNE A HAITI, 11 MOIS APRES LE SEISME # thumbnail
QUOTIDIEN DANS LES RUES DE PORT-AU-PRINCE, 10 MOIS APRES LE SEISME. thumbnail
VIE QUOTIDIENNE EN HAITI 10 MOIS APRES LE SEISME/ DAILY LIFE IN HAITI 10 MONTHS AFTER THE EARTHQUAKE thumbnail
REPORTAGE DANS LE CAMP DE DEPLACES DE SAINTE THERESE, A PETIONVILLE. thumbnail
REPORTAGE UN AN APRES LE SEISME. thumbnail
PORTRAIT DE ROSE, JEUNE HAITIENNE INSTALLEE SUR LE CHAMP-DE-MARS DEPUIS LE SEISME DU 12 JANVIER 2010. thumbnail
HAITI 2010. thumbnail
VIE QUOTIDIENNE EN HAITI 10 MOIS APRES LE SEISME/ DAILY LIFE IN HAITI 10 MONTHS AFTER THE EARTHQUAKE thumbnail
CEREMONIES RELIGIEUSES DU DIMANCHE A PORT-AU-PRINCE. thumbnail
COMMEMORATIONS DU SEISME DU 12 JANVIER 2010, UN AN APRES, A PORT-AU-PRINCE. thumbnail
COMMEMORATIONS DU SEISME DU 12 JANVIER 2010, UN AN APRES, A PORT-AU-PRINCE. thumbnail
HAITIoneYearAfter019 thumbnail
VIE QUOTIDIENNE EN HAITI 10 MOIS APRES LE SEISME/ DAILY LIFE IN HAITI 10 MONTHS AFTER THE EARTHQUAKE thumbnail
VIE QUOTIDIENNE EN HAITI 10 MOIS APRES LE SEISME/ DAILY LIFE IN HAITI 10 MONTHS AFTER THE EARTHQUAKE thumbnail
# VIE QUOTIDIENNE A HAITI, 11 MOIS APRES LE SEISME # thumbnail
HAITIoneYearAfter023 thumbnail
HAITIoneYearAfter024 thumbnail
PORTRAIT DE LAURE, KINESITHERAPEUTE POUR L'ONG HANDICAP INTERNATIONAL EN HAITI. thumbnail
REPORTAGE DANS L'ECOLE PRIVEE PRIMAIRE NID D'ENFANTS A PORT-AU-PRINCE. thumbnail
HAITIoneYearAfter001
# VIE QUOTIDIENNE A HAITI, 11 MOIS APRES LE SEISME #
# VIE QUOTIDIENNE A HAITI, 11 MOIS APRES LE SEISME #
# VIE QUOTIDIENNE A HAITI, 11 MOIS APRES LE SEISME #
# VIE QUOTIDIENNE A PORT-AU-PRINCE, 10 MOIS APRES LE SEISME #
VIE QUOTIDIENNE A PORT-AU-PRINCE / DAILY LIFE IN PORT-AU-PRINCE.
# VIE QUOTIDIENNE A HAITI, 11 MOIS APRES LE SEISME #
QUOTIDIEN DANS LES RUES DE PORT-AU-PRINCE, 10 MOIS APRES LE SEISME.
VIE QUOTIDIENNE EN HAITI 10 MOIS APRES LE SEISME/ DAILY LIFE IN HAITI 10 MONTHS AFTER THE EARTHQUAKE
REPORTAGE DANS LE CAMP DE DEPLACES DE SAINTE THERESE, A PETIONVILLE.
REPORTAGE UN AN APRES LE SEISME.
PORTRAIT DE ROSE, JEUNE HAITIENNE INSTALLEE SUR LE CHAMP-DE-MARS DEPUIS LE SEISME DU 12 JANVIER 2010.
HAITI 2010.
VIE QUOTIDIENNE EN HAITI 10 MOIS APRES LE SEISME/ DAILY LIFE IN HAITI 10 MONTHS AFTER THE EARTHQUAKE
CEREMONIES RELIGIEUSES DU DIMANCHE A PORT-AU-PRINCE.
COMMEMORATIONS DU SEISME DU 12 JANVIER 2010, UN AN APRES, A PORT-AU-PRINCE.
COMMEMORATIONS DU SEISME DU 12 JANVIER 2010, UN AN APRES, A PORT-AU-PRINCE.
HAITIoneYearAfter019
VIE QUOTIDIENNE EN HAITI 10 MOIS APRES LE SEISME/ DAILY LIFE IN HAITI 10 MONTHS AFTER THE EARTHQUAKE
VIE QUOTIDIENNE EN HAITI 10 MOIS APRES LE SEISME/ DAILY LIFE IN HAITI 10 MONTHS AFTER THE EARTHQUAKE
# VIE QUOTIDIENNE A HAITI, 11 MOIS APRES LE SEISME #
HAITIoneYearAfter023
HAITIoneYearAfter024
PORTRAIT DE LAURE, KINESITHERAPEUTE POUR L'ONG HANDICAP INTERNATIONAL EN HAITI.
REPORTAGE DANS L'ECOLE PRIVEE PRIMAIRE NID D'ENFANTS A PORT-AU-PRINCE.

La cathédrale de Port-au-Prince entièrement détruite par le séisme du 12 janvier 2010. Des haitiens viennent y récupérer des fers à béton afin de les revendre sur le marché. Une tige de metal rapporte en moyenne 25 gourdes (environ 40 centimes d'euros)

Un père et sa fille sans abris depuis le séisme du 12 janvier 2010, vivent à côté des décombres de la Cathédrale de Port-au-Prince

Haiti, Cité Soleil. Sonita a 10 enfants, agés entre 7 et 23 ans. Son mari est mort dans le séisme du 12 janvier 2010. Elle doit se débrouiller avec pour seul revenu 60 gourdes (moins de 1,5 dollars) par jour dans la vente d'eau. Ils vivent dans cette cabane depuis 5 ans, et à chaque pluie abondante la maison se trouve inondée

Jour de pluie dans le camp de déplacés, victimes du séisme, installé en face de l'aéroport de la capitale depuis le séisme du 12 janvier 2010

Auguste, Junior, Fritz et Jean-Pierre sont payés 200 gourdes (environ 3,50 euros) chaque jour depuis 22 jours afin de déblayer un garage automobile détruit lors du séisme du 12 janvier 2010. Ils travaillent toute la semaine et font le travail à mains nues

Le camp de déplacés de Corail est installé à une quinzaine de kilomètres au nord de la capitale. Au lendemain du séisme, des milliers de sans abris s'y sont installés après que l' Etat l'ait déclaré zone d'utilité publique. Mais peu d'ONG viennent le visiter et ses habitants sont isolés et sans moyen: pas d'eau courante ni d'électricité, loin du centre de Port-au-Prince et de toute possibilité de trouver un travail

Camp Sainte Thérèse à Pétion-ville, un ancien terrain de football réquisitionné pour les sans-abris victimes du séisme

Camp de déplacés de Carrefour Aviation. Chaque soir, des responsables du camp viennent brancher et allumer l'électricité afin d'assurer plus de sécurité

Rose a écrit son histoire depuis le 12 janvier pour le quotidien français Libération

Portrait de Wilfrid JEAN, président de l'Association des Vaudouisants de Léogane

Eglise protestante dans Port-au-Prince. Chanteurs gospel

Messe dominicale dans une Eglise catholique

Messe en plein air face à la Cathédrale de Port-au-Prince, afin de commémorer la première année du tremblement de terre

Pour commémorer les ans du séisme du 12 janvier 2010, une minute de silence, sur la place du Champ-de-Mars, face au Palais National, est organisée par un groupe de protestants

Pêcheurs sur la côte de Port-au-Prince

Reconstruction: déblaiements d'une maison détruite par le séisme

Le camp de déplacés de Canapé-Vert

Le quartier commercial du bas de la ville, l'un des plus détruit par le séisme

Port de pêche du bidonville de Cité Soleil

Rue de nuit dans les faubourgs de Port-au-Prince

L' ONG Handicap International a monté un centre de rééducation et d'installation de prothèses pour les amputés victimes du séisme

L'école Nid d'enfants, dans le centre de Port-au-Prince est une école reconstruite en semi-dur